Joëlle Adam
Admin
Nombre de messages : 220
Date d'inscription : 04/12/2008
 |  Sujet: La lettre E comme...  Dim 14 Déc - 4:05 | |
| -Exfoliant:
Procédé artificiel de gommage permettant d'activer la desquamation naturelle de la peau.
- Embellissement
l'art de mettre en valeur sa personne. À embellir ou relooker (voir relooking : www.look-et-seduction.com)
N'est pas signe de narcissisme mais de respect de soi
- Effet d'optique
Nous pouvons apporter beaucoup de corrections grâce a l'effet d'optique, c'est bluffant !
- Emploi
Pour se présenter devant un employeur il vaut mieux être certain(e) de son apparence, afin de faire une bonne impression, vous êtes a l'image de son entreprise.
Le bleu est en général une couleur qui passe bien, a condition de mettre un bleu qui soit de vos nuances de tons.
Une bonne impression par une image positive par la valorisation de soi:
Pour voir les personnes Avant/Après leur relooking
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Maryse
Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 13/12/2008
| | Sujet: Re: La lettre E comme... Mer 17 Déc - 2:13 | |
| Je me permets de rajouter
la lettre E comme :
Erinyes (les)
Posté dans 25 août, 2008 dans Mythologie.
om grec des Furies, semblables au Harpies / Gorgones. Elles sont les instruments de la vengeance divin, à la suite des fautes des hommes, qu'elles poursuivent en semant l'épouvante dans leur coeur. Dans l'Antiquité, on les identifiait déjà à la conscience. Intériorisées, elles symbolisent le remords, le sentiment de culpabilité, l'autodestruction.
Comme les Moirai (le destin => lire Moïra de Julien Green ), elles sont à l'origine gardiennes des lois de la nature et de l'ordre des choses (physique et moral), ce qui fait qu'elles sanctionnent tous ceux qui outrepassent leurs droits aux dépens des autres, chez les dieux comme chez les hommes. Ce n'est que plus tard qu'elles deviendront spécifiquement les divinités vengeresses du crime.
Cette évolution correspond à celle de la conscience, qui d'abord et interdit et prohibe, qui ensuite condamne et détruit. Elles peuvent se transformer en Euménides, divinités favorables et bienveillantes, quand la raison, symbolisée par Athéna, ramène la conscience morbide apaisée à une appréciation plus mesurée des actes humains.
Sources : Dictionnaire des symboles, op. cit. | |
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Justine
Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 16/12/2008
| | Sujet: Re: La lettre E comme... Mer 17 Déc - 2:21 | |
| - Maryse a écrit:
- Je me permets de rajouter
la lettre E comme :
Erinyes (les)
Posté dans 25 août, 2008 dans Mythologie.
om grec des Furies, semblables au Harpies / Gorgones. Elles sont les instruments de la vengeance divin, à la suite des fautes des hommes, qu'elles poursuivent en semant l'épouvante dans leur coeur. Dans l'Antiquité, on les identifiait déjà à la conscience. Intériorisées, elles symbolisent le remords, le sentiment de culpabilité, l'autodestruction.
Comme les Moirai (le destin => lire Moïra de Julien Green ), elles sont à l'origine gardiennes des lois de la nature et de l'ordre des choses (physique et moral), ce qui fait qu'elles sanctionnent tous ceux qui outrepassent leurs droits aux dépens des autres, chez les dieux comme chez les hommes. Ce n'est que plus tard qu'elles deviendront spécifiquement les divinités vengeresses du crime.
Cette évolution correspond à celle de la conscience, qui d'abord et interdit et prohibe, qui ensuite condamne et détruit. Elles peuvent se transformer en Euménides, divinités favorables et bienveillantes, quand la raison, symbolisée par Athéna, ramène la conscience morbide apaisée à une appréciation plus mesurée des actes humains.
Sources : Dictionnaire des symboles, op. cit. Super 
Je vais moi aussi remplir un peu l'abécédaire notemment la lettre E et parler encore de mythologie
on va bien s'entendre Maryse 
La lettre E comme :
Epona
Posté dans 25 août, 2008 dans Mythologie.
n voit communément dans cette divinité gallo-romaine, au nom purement gaulois, la déesse des chevaux et, devant l'importance de son culte dans toutes les provinces rhénanes et danubiennes, on s'est demandé d'où il venait, puisque César ne mentionne nullement Epona dans son schéma religieux du de Bello Gallico.
De multiples travaux se sont efforcés d'étudier les origines et la typologie iconographiques : Epona chevauchant et Epona assise entre deux chevaux. On a aussi cherché avec acharnement des correspondances insulaires et on a cru avoir trouvé le personnage gallois de Rhiannon et de l'Irlandaise Macha. Mais Rhiannon est une reine et Macha est la personnification de la plaine où se trouvait la capitale de l'Ulster, Emain Macha. Ni l'une ni l'autre ne sont spécialement hippomorphes mais elles appartiennent à ce type de souveraines attachées à la possession du pays et qu'il faut vaincre ou épouser.
Le cheval appartient d'autre part à la fonction guerrière, et à elle seule.
On peut donc soupçonner Epona de constituer l'adaptation celtique, mal traduite par un nom indigène, de la “potnia therôn”, ou “maîtresse des animaux”, dont les gaulois ont imité l'iconographie. L'élément mythique représenté par le nom a pu être attaché secondairement au cycle d'une divinité, la Minerve nommée par César, laquelle a porté un très grand nombre de surnoms, topiques, laudatifs ou fonctionnels.
Passée dans le panthéon romain après les conquêtes, elle devint, à la suite de transformations banalisantes, la déesse protectrice des chevaux et des écuries. Représentée à l'origine par une jument, symbole de la fécondité, elle le fit ensuite par une femme à cheval, portant une corne d'abondance remplie de fruits. Elle est parfois rapprochée du culte des Déesses-Mères, des Sources et des Foyers.
Sources : Dictionnaire des symboles, op. cit.
Remarque de Naguère: cet ouvrage méprise dans son ensemble la culture celte et je ne suis pas sûre de ses conclusions concernant aussi bien Epona que tout ce qui a trait aux traditions celtes. | |
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Maryse
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Marlène
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Stéphanie
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